en travaux

mardi 13 octobre 2009

Invitation: samedi 17 octobre à partir de 11h30, venez nous retrouver...

communiqué de presse de l'expo des Eglises

communiqué de presse
Bertille Bak, Katinka Bock, Perrine Lievens, Perrine Lacroix, Alexandra Sà, Alexia Turlin
Bleu + blanc + rouge = rose ?
vernissage le 17 octobre 2009 à 11h30
18 octobre — 29 novembre 2009
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contacts presse
chargée de la communication
et du suivi des publics
faustine douchin
t +33 [0]1 64 72 65 70
f.douchin@chelles.fr
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les églises
centre d’art contemporain
rue éterlet
f—77500 chelles
http://leseglises.chelles.fr
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commissariat
éric degoutte
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médiation
pedro alves
p.alves@chelles.fr
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prolongement des actions
hors-les-murs
aurélia vesperini
a.vesperini@chelles.fr
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Navette gratuite le 17 octobre entre Paris (Bastille) et Chelles :
Réservations au 01 64 72 65 70
et leseglises@chelles.fr
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Entrée libre
Vendredi, samedi, dimanche
14 h — 17 h et sur rendez-vous.
Accessible aux personnes
à mobilité réduite.
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Les oeuvres présentées aux églises sont des coproductions de l’artiste et de la Ville de Chelles.
Avec le soutien de la direction régionale des affaires culturelles d’Ile-de‑France - Ministère de la culture et de la communication.
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Le centre d’art contemporain de la ville de Chelles, les églises, réunit Bertille Bak, Katinka Bock, Perrine Lievens, Perrine Lacroix, Alexia Turlin et Alexandra Sà, au sein de Bleu + blanc + rouge = rose ? du 18 octobre au 29 novembre 2009. Première exposition collective proposée par le centre d’art, ce projet fait preuve d’originalité à plusieurs titres.
L’exposition s’inscrit dans un contexte particulier questionnant le phénomène de la régénération urbaine et de ses effets. Elle se pose à la jonction, en continuité et en amorce, de résidences artistiques développées sur la ville de Chelles au coeur de quartiers en réaménagement. Les six artistes impliquées, déjà intervenues ou invitées à prolonger cette réflexion dans les mois à venir, ont pu s’imprégner de ces questionnements et y trouver des résonances dans leur travail. Ces interventions artistiques entrent en lien avec la notion de territoires qui constitue le fil rouge de la programmation du centre d’art.
L’exposition n’est pas fondée sur un propos curatorial préconçu que les oeuvres viendraient seulement illustrer, mais sur un choix préalable qui privilégie une ouverture aux possibles, le pari d’une émergence. Par la réunion de ces six artistes, il favorise la rencontre entre des démarches présentant un potentiel d’affinités, d’accointances, de questionnements parallèles, qui se matérialisent dans les pièces exposées par des échos, des analogies de forme et de sens, des airs de famille.
Issues de la résidence artistique mise en place cet été (Perrine Lievens, Alexia Turlin, Alexandra Sà), créées spécifiquement pour le site des églises (Perrine Lacroix) ou produites antérieurement sur d’autres territoires (Bertille Bak, Katinka Bock), sculptures, installations et vidéos dialoguent, se répondent autour d’espaces urbains, de constructions, de logements en reconversion et de leurs habitants concernés.
Glissant entre le projet, la maquette, l’architecture ou le mobilier, les oeuvres évoquent un état transitoire. Des tables s’animent, de l’eau coule, des briques s’empilent, des étagères s’agitent, se rebellent. On déménage, on fantasme, on bricole, on partage, on reste en suspens, on continue... Face à ces situations de changement structurel induisant une certaine précarité, les pièces rassemblées opèrent un travail de mémoire, incitent à la révolte, ouvrent un terrain à la projection, à l’utopie individuelle et collective. Parfois encore, elles détournent des éléments quotidiens dans une posture absurde invitant au regard humoristique et distancié.
Ces oeuvres, étroitement affiliées au contexte de production qui les a générées, conversent donc avec la posture curatoriale. Un jeu s’instaure. Ni bleu, ni blanc, ni rouge. Ni rose non plus. Les équations sont parfois plus complexes que l’on ne veut bien les penser, se plaire à l’imaginer. L’épreuve du laboratoire s’engage. Les logiques de cheminements, d’appropriations, de vies développées, l’approche critique du commissaire, constituent alors une autre forme de palette.
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samedi 3 octobre 2009

salut a ts les crésonnières. quant'a moi je suis OSEE MANGA, jeune boys de 28 ans. j'ai votre mail par le canale de votre blog, puisque j e ss un jeune bloggueur comme ts le reste. je tient a vous dire que votre blog est tellement magnique.malgré la distance qui ns sépares, je serai tres ravi d'échanger les richesses culturel avec les votres. merci et je serai tres ravi de vous lire en retour.
rugalm@gmail.com